Mortelle éternité / D. Marquet & E. Barrière
Si Denis Marquet n’en est pas à son coup d’essai – son roman Colère, également publié par Albin Michel, a connu un certain succès en 2001 – c’est la première fois qu’il écrit à
quatre mains avec Elisabeth Barrière.
Résumé
A New York, Ann Winthrop, jeune détective du NY Police Department, fait équipe avec Jeff Mulligan, flic aux méthodes limites mais à l’efficacité redoutable. Ils enquêtent sur l’assassinat d’une brillante biologiste dont le petit ami (également biologiste) a disparu quelques mois plus tôt. Mulligan, persuadé d’avoir vu la victime devant son bureau une heure après sa mort, est obsédé par la morte, hanté par de curieux phénomènes surnaturels. Viré de la police, il va poursuivre ses recherches avec l’aide d’Ann, tombée amoureuse de lui. La piste finira par les conduire vers une élégante clinique spécialisée dans le traitement des maladies génétiques rares, et dont le directeur s’occupe aussi d’une fondation humanitaire à Juarez, à la frontière mexicaine, où nombre de personnes ont mystérieusement disparu…
Mon avis
Je ne connaissais pas ces deux auteurs avant d’avoir l’occasion de rencontrer Elisabeth Barrière – charmante, soit dit en passant – au salon du livre de Vannes (Morbihan) en juin dernier.
Leur écriture est très simple, efficace, allant droit au but, sans détour par des phrases inutilement longues et alambiquées.
Si le suspense n’est pas vraiment exceptionnel, le lecteur est tenu en haleine par les éléments « surnaturels » de l’intrigue et notamment l’inspecteur Jeff Mulligan, qui est certain d’avoir vu la victime en vie… après sa mort !
Si tout s’explique, je n’ai pas été totalement convaincu par la fin du livre, qui m’a un peu laissé sur ma faim.
Les deux personnages principaux ne m’ont pas non plus enthousiasmés. J’ai trouvé Jeff trop caricatural dans ce rôle de flic « borderline » et Ann assez mièvre. Le personnage qui m’a le plus plu est finalement Raul Espejo, que j’ai trouvé plus crédible et auquel j’ai eu tendance à m’identifier davantage.
Au final, Mortelle éternité est un assez bon thriller, que je ne conseillerais toutefois qu’aux amateurs du genre.
Résumé
A New York, Ann Winthrop, jeune détective du NY Police Department, fait équipe avec Jeff Mulligan, flic aux méthodes limites mais à l’efficacité redoutable. Ils enquêtent sur l’assassinat d’une brillante biologiste dont le petit ami (également biologiste) a disparu quelques mois plus tôt. Mulligan, persuadé d’avoir vu la victime devant son bureau une heure après sa mort, est obsédé par la morte, hanté par de curieux phénomènes surnaturels. Viré de la police, il va poursuivre ses recherches avec l’aide d’Ann, tombée amoureuse de lui. La piste finira par les conduire vers une élégante clinique spécialisée dans le traitement des maladies génétiques rares, et dont le directeur s’occupe aussi d’une fondation humanitaire à Juarez, à la frontière mexicaine, où nombre de personnes ont mystérieusement disparu…
Mon avis
Je ne connaissais pas ces deux auteurs avant d’avoir l’occasion de rencontrer Elisabeth Barrière – charmante, soit dit en passant – au salon du livre de Vannes (Morbihan) en juin dernier.
Leur écriture est très simple, efficace, allant droit au but, sans détour par des phrases inutilement longues et alambiquées.
Si le suspense n’est pas vraiment exceptionnel, le lecteur est tenu en haleine par les éléments « surnaturels » de l’intrigue et notamment l’inspecteur Jeff Mulligan, qui est certain d’avoir vu la victime en vie… après sa mort !
Si tout s’explique, je n’ai pas été totalement convaincu par la fin du livre, qui m’a un peu laissé sur ma faim.
Les deux personnages principaux ne m’ont pas non plus enthousiasmés. J’ai trouvé Jeff trop caricatural dans ce rôle de flic « borderline » et Ann assez mièvre. Le personnage qui m’a le plus plu est finalement Raul Espejo, que j’ai trouvé plus crédible et auquel j’ai eu tendance à m’identifier davantage.
Au final, Mortelle éternité est un assez bon thriller, que je ne conseillerais toutefois qu’aux amateurs du genre.
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