Le 108e cercle / Jean-Paul Le Denmat
Le 108e cercle est le second roman de Jean-Paul Le Denmat, publié aux éditions Liv’.
Résumé
Vic et Caro passent des vacances idylliques dans le Gard, quand soudain tout se détraque : inondations dramatiques à Pontivy où sévit un mystérieux pédophile, assassinat de Solange à la clinique Saint-Geniès... Fernand, son jardinier, serait d'ailleurs bien inspiré de ne pas fourrer son nez dans les affaires des étranges voisins de la clinique, un peu trop portés sur la discrétion.
Les " masques " qui hantent les souvenirs de Caro sont-ils le fruit de son imagination ou des créatures bien réelles, violentes et cruelles ? Mais qu'est-ce que le 108e Cercle ? Et quelles sont les intentions de l'inspecteur Le Maoût, qui s'intéresse de près à la jeune fille ? Il faudra toute l'astuce de Jé, son frère, pour venir à bout de l'énigme. Un thriller redoutable, à éviter pour s'endormir.
Mon avis
Le 108e cercle est un thriller de bonne qualité, qui comporte quasiment tous les ingrédients du genre : le passé trouble d’un des personnages principaux, des meurtres à foison, une secte mystérieuse, …
Le premier tiers du roman est assez laborieux. L’auteur doit mettre en place les nombreux personnages de son intrigue, présents sur deux lieux différents. En effet, si l’action commence à Pontivy (Morbihan), on suit en parallèle des évènements se déroulant dans la région d’Uzès (Gard). Les lecteurs de polars s’en douteront immédiatement, des connexions risquent de s’établir entre ces deux endroits.
Une fois intégrés les différents lieux et personnages, le rythme s’accélère et demeure soutenu jusqu’à la fin, avec pas mal de suspense puisque l’on suit - grâce à des chapitres courts et en alternance – les différents protagonistes, tous en proie à des difficultés différentes. On en vient à s’attacher à certains des personnages, ma préférence allant à Fernand, le jardinier de la clinique, insomniaque et un peu trop curieux.
Jean-Paul Le Denmat fait un clin d’oeil à Jean-Christophe Grangé par l’intermédiaire d’un de ses personnages - qui lit son dernier roman. J’ai ressenti assez fortement l’influence de cet auteur dans ce thriller. Si Le Denmat a indéniablement du potentiel et s’inscrit dans les traces de ce grand du polar, il lui reste encore du chemin à parcourir. Un auteur à suivre avec attention.
Résumé
Vic et Caro passent des vacances idylliques dans le Gard, quand soudain tout se détraque : inondations dramatiques à Pontivy où sévit un mystérieux pédophile, assassinat de Solange à la clinique Saint-Geniès... Fernand, son jardinier, serait d'ailleurs bien inspiré de ne pas fourrer son nez dans les affaires des étranges voisins de la clinique, un peu trop portés sur la discrétion.
Les " masques " qui hantent les souvenirs de Caro sont-ils le fruit de son imagination ou des créatures bien réelles, violentes et cruelles ? Mais qu'est-ce que le 108e Cercle ? Et quelles sont les intentions de l'inspecteur Le Maoût, qui s'intéresse de près à la jeune fille ? Il faudra toute l'astuce de Jé, son frère, pour venir à bout de l'énigme. Un thriller redoutable, à éviter pour s'endormir.
Mon avis
Le 108e cercle est un thriller de bonne qualité, qui comporte quasiment tous les ingrédients du genre : le passé trouble d’un des personnages principaux, des meurtres à foison, une secte mystérieuse, …
Le premier tiers du roman est assez laborieux. L’auteur doit mettre en place les nombreux personnages de son intrigue, présents sur deux lieux différents. En effet, si l’action commence à Pontivy (Morbihan), on suit en parallèle des évènements se déroulant dans la région d’Uzès (Gard). Les lecteurs de polars s’en douteront immédiatement, des connexions risquent de s’établir entre ces deux endroits.
Une fois intégrés les différents lieux et personnages, le rythme s’accélère et demeure soutenu jusqu’à la fin, avec pas mal de suspense puisque l’on suit - grâce à des chapitres courts et en alternance – les différents protagonistes, tous en proie à des difficultés différentes. On en vient à s’attacher à certains des personnages, ma préférence allant à Fernand, le jardinier de la clinique, insomniaque et un peu trop curieux.
Jean-Paul Le Denmat fait un clin d’oeil à Jean-Christophe Grangé par l’intermédiaire d’un de ses personnages - qui lit son dernier roman. J’ai ressenti assez fortement l’influence de cet auteur dans ce thriller. Si Le Denmat a indéniablement du potentiel et s’inscrit dans les traces de ce grand du polar, il lui reste encore du chemin à parcourir. Un auteur à suivre avec attention.
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